Le nombre de chômeurs inscrits au Pôle emploi en catégorie A (sans aucune activité, même réduite) a connu une hausse de 2,4% en avril, soit 58.500 demandeurs d’emploi supplémentaires. Sur un an, la hausse est de 24,6%. Au total, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi de catégorie A s’établit à 2.506.700 en France métropolitaine fin avril 2009.
La campagne pour les élections européennes, chacun peut la mener par internet aussi !
Vous disposez d’un ordinateur et d’une connexion internet. Vous avez donc les bons outils pour mener cette campagne depuis chez vous auprès de vos amis.
Sur notre site (http://adsblog.unblog.fr) comme sur celui du Front de Gauche (www.frontdegauche.eu), vous pouvez jouer du “copier/coller” et leur adresser par courriel articles, citations, arguments pour les inviter à voter partout Front de Gauche !
Deux documents à votre disposition :
- le n° spécial de Confluences 87 à télécharger ici : 
confluenceseurope.pdf
- le journal de la circonscription : journalcirconscription.pdf
Des vidéos que vous trouverez dans la page « Vidéos de campagne » (dans le menu en tête de cette page)
Voici le calendrier des réunions publiques du Front de Gauche dans les prochains jours en Haute-Vienne :
2 juin : La Chapelle-montbrandeix, 20 h 30 ; Patrick Charles, Claude Pauliat, G. Bernard, JP Normand
4 juin : Ambazac, salle sous la mairie à 20 h ; Dominique Favier, Francis Dauliac, JP Normand
5 juin : Saint-Junien, salle des Fêtes à 18 h 30 ; Patrick Charles, Pierre Allard, Francis Dauliac, JP Lamoure
Un large Comité de soutien s’est constitué en Haute-Vienne autour de Patrick Charles et de la liste du Front de Gauche, sous la co-présidence de Pierre Allard, maire de Saint-Junien, vice-président du conseil général, Joël Ratier, maire de St-Martin-de-Jussac, vice-président du conseil régional et Eric Chalifour, maire-adjoint de Nieul.
Jacques Sapir, Patrick Chamoiseau, Ignacio Ramonet, Régis Debray, Didier Daeninckx, François Hadji-Lazaro, Ariane Ascaride, Bernard Cassen, Robert Guédiguian, Henri Pena-Ruiz, Edmonde Charles-Roux…
Ces intellectuels, comédiens ou cinéastes qui ont apporté leur soutien au Front de gauche, ont des engagements différents. Certains ont soutenu Ségolène Royal à la dernière présidentielle, d’autres se sont engagés aux côtés de l’un ou l’autre des candidats de la gauche antilibérale et écologique. Mais il semble que l’existence d’une offre politique unitaire a changé la donne pour eux. La volonté d’encourager l’unité face aux comportements de désunion d’autres forces a pesé dans leur décision de soutenir le Front de gauche : « la décision du NPA de ne pas saisir, avec ces élections, l’opportunité historique de réaliser une véritable union pour lutter contre la droite m’a stupéfait (…) Le Front de gauche assume ses responsabilités », estime ainsi l’écrivain Gérard Mordillat. « Après tant de spectacles de divisions à gauche (…) le Front de gauche a fait le premier pas vers ce rassemblement nécessaire et, comme chacun sait, ce sont les premiers pas qui comptent », écrit de son côté l’écrivain Didier Daeninckx sur le site du Front de gauche.
A lire également : l’appel de 36 économistes à voter pour le Front de Gauche sur le site de L’Humanité.
Il aura fallu quand même 6 mois ! Enfin, Julien Coupat a été remis hier en liberté. Mais le même jour, le chef de l’Etat s’est adonné à une grand messe sécuritaire, visant en particulier les écoles et les « cités » pour lesquelles il promet de multiplier les « opérations coup de poing ». En toute innocence, bien sûr, à quelques jours des élections européennes…
Une hirondelle ne fait sans doute pas le printemps mais certaines tendances sont intéressante dans ce nouveau sondage paru ce jour. Le Front de gauche recueille 7%, un point devant le NPA d’Olivier Besancenot, qui fait jeu égal avec le Front national (6% chacun). L’UMP-Nouveau Centre reste en tête des intentions de vote pour les européennes, avec 26%, devant le PS sous la barre des 20%, à 19%, selon ce sondage TNS Sofres Logica pour France Télévisions, Radio France et Le Monde, rendu public aujourd’hui. Le MoDem est 3e avec 14% des intentions de vote, suivi d’Europe Ecologie (11%). Aucune des autres listes ne franchit la barre des 5%.
Près de 500 personnes ont participé mardi soir au meeting du front de Gauche, salle Jean-Moulin à Limoges. Musique, écran géant, drapeaux, de la couleur et beaucoup d’ambiance pour accueillir Marie-France Beaufils. A la tribune, outre la tête de liste, deux autrescandidats, Patrick Charles (ADS) et David Gipoulou (Parti de Gauche). Autres orateurs pour soutenir la liste, Philippe Jalladeau (Gauche Unitaire), Eric Coquerel (Parti de Gauche) et André Chassaigne, député PCF du Puy-de-Dôme et Président du comité de soutien.
Journaliste noir américain, Mumia Abu-Jamal a été condamné à mort en 1982 à l’issue d’un procès truqué. Accusé du meurtre d’un policier, il a toujours crié son innocence. Il est aujourd’hui l’une des figures emblématiques du combat pour l’abolition universelle de la peine capitale. D’un continent à l’autre, sa situation suscite une mobilisation continue depuis une quinzaine d’années. Signez la pétition adressée au Président Obama
Salle comble jeudi soir à la mairie d’Eymoutiers (Haute-Vienne) pour le meeting du Front de Gauche. Au moins autant qu’en 2005 lors de la campagne du référendum…Tour à tour, le candidat Patrick Charles (ADS et adjoint au maire de Limoges), Roger Souteyrand (Parti de Gauche) et Gilbert Bernard (PCF) ont développé les raisons de voter Front de Gauche aux élections européennes avant que s’instaure un riche débat animé par Michel Ponchut, conseiller général d’Eymoutiers.
Le Directeur de l’INSEE, Nicolas Cotis, a rendu son rapport sur le partage de la valeur ajoutée. Dans les sociétés non financières, principale référence du rapport, la part des salaires était de l’ordre de 70 % dans les années 1950-1970. Elle est montée à presque 75 % en 1982, pour descendre à 67 % en 1990. En termes de revenu national actuel, cela représente un hold-up pour les salariés de l’ordre de 60 milliards d’euros par an. C’est plus de deux fois le plan de relance du gouvernement, qui est de 26 milliards d’euros sur deux ans. La répartition des profits a aussi sensiblement évolué. Les dividendes nets versés aux actionnaires ont plus que doublé entre 1993 et 2007 : ils sont passés de 7,1 à 16,3 % des profits… alors que les investisements, qui représentaient 17,3 % de la valeur ajoutée en 1999 ne pèsent plus que 12,7 % maintenant.
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