13072012
Comparer le cambriolage du siège du Parti démocrate américain (immeuble du Watergate) par les « plombiers » de Richard Nixon avec le tweet de la compagne de François Hollande… Faut vraiment rien avoir à se mettre sous la plume ou dans le… micro ! « Tweetgate », c’est pourtant le néologisme repris par de nombreux médias… Pour l’instant, on n’a pas vu « Peugeotgate » ou « Sanofigate » pour ne citer que ces deux là… Bizarre !
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12072012
un patrimoine estimé à 21 milliards d’euros, le patron du groupe de luxe LVMH, Bernard Arnault, conserve sa place de « numéro un » du classement recensant les plus grandes fortunes de France, établi par le magazine «Challenges». La famille Mulliez garde également sa position de numéro deux avec une fortune en léger repli, mais qui s’élève toutefois à…18 milliards d’euros. Bernard Puech et les familles actionnaires du sellier Hermès gagnent une place et font ainsi leur entrée dans le «top 3» avec une fortune qui est évaluée à 17 milliards d’euros.
Si les 500 français les plus riches de France le sont un peu moins qu’en 2011 (-3%), leur fortune totale a de quoi donner le vertige… Elle s’élève à 267 milliards d’euros, « l’équivalent des recettes de l’Etat, l’an dernier », fait remarquer le magazine. «Challenges» note par ailleurs une forte concentration de la richesse dans le haut du classement puisque le « top 20 pèse autant (130 milliards d’euros) que les 480 restants ! ».
Le renouvellement important du classement est la spécificité de cette année 2012, ajoute le magazine… Affectés par la chute des cours de bourse et par les difficultés traversées par leurs groupes, « plusieurs dizaines de riches sont en effet sortis du classement » (Bernard Huvé de SII, Jean-Michel Hégesippe d’Outremer Télécom, Thierry Ehrmann d’Artprice, Gilbert Wahnich des matelas Cauval). Ils sont ainsi passés sous le « Fmic » (Fortune minimum d’insertion du classement), soit 60 millions d’euros…
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12072012
Peugeot Citroën a annoncé ce matin son intention de supprimer 8 000 postes sur ses sites français et de fermer son usine de production d’Aulnay-sous-Bois en 2014. En plus des 3 000 emplois que représente actuellement l’usine d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), PSA compte supprimer 3 600 emplois de structure – administration, recherche et développement et commerce – par «départs volontaires», et 1 400 emplois dans son usine de Rennes (Ille-et-Vilaine). L’action du groupe a ouvert en hausse de 1,4 % à la Bourse de Paris…
Après cette annonce, la ministre des affaires sociales, Marisol Touraine a déclaré que l’expert mandaté par l’Etat examinera la situation de PSA Peugeot Citroën pendant 15 jours. « On ne peut pas accepter quelque chose comme ça », a-t-elle déclaré, en soulignant que le groupe avait perçu quatre milliards d’euros d’aides publiques ces dernières années. « Il faut regarder, il faut évaluer, c’est de l’argent qui a été versé sans contrepartie, ce qui n’est pas acceptable », a-t-elle martelé avant d’ajouter : « L’Etat va regarder comment a été menée la stratégie de l’entreprise et ce qui doit être exigé dans l’intérêt des salariés. »
De leur côté, les syndicats ont évoqué un « séisme », une « guerre ». « Je rappelle qu’il y a un an, nos représentants avaient déjà donné cette information. Sans doute que le contexte électoral ne se prêtait pas à la confirmation de ce séisme », a déclaré le dirigeant de la CGT, Bernard Thibault. « Dès lors que Peugeot annonce la suppression de 8 000 à 10 000 emplois, il faut multiplier par trois, voire quatre, pour mesurer l’impact en termes d’emploi pour l’ensemble du pays », a indiqué B. Thibault, assurant que la CGT allait « réagir ».
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